Bien sûr tout cela m’avait énormément plut, non seulement parce que Marie-Claude avait été comblée par David mais aussi par la façon dont tout cela s’était déroulé et le fait que quelqu’un ait été quasi-témoin de ce que l’on ne peut appeler autrement que mon cocufiage. Cela réjouissait mon fantasme masochiste à un tel point que j’aurais aimé qu’en plus de Jessia, d’autres personnes soient mises au courant.
Une ou deux semaines plus tard, Marie-Claude me rapporta que David lui avait confié que leur aventure s’était sue. En fait David avait du parler de cela à un de ses collègues, un autre surveillant, qui s’était empressé d’aller le raconter à plusieurs caissières. Je ne voyais aucun inconvénient dans tout cela, au contraire puisque cela abondait dans le sens de mon masochisme. Je demandais à Marie-Claude ce qu’elle en pensait, elle me rétorqua que cela ne la gênait pas du tout. Elle me confia même par la suite qu’une ou deux de ses collègues, avec lesquelles elle partageait les confidences, lui demandèrent si je n’avais pas fini par être au courant de cette infidélité et si cela lui arrivait souvent de me tromper. Marie-Claude leur révéla alors qu’elle avait eu plus de vingt amants et que j’étais au courant pour tous.
J’ai beaucoup apprécié qu’elle fasse cette réponse car c’est bien sûr certainement bizarre mais j’aime que certaines personnes sachent que ma femme a eu autant d’amants.
Toutefois Marie-Claude n’a pas eu le temps de révéler tout cela à David qui a quitté ou a été licencié de la société de surveillance. Elle ne l’a jamais revu et le regrette encore car elle est toujours prête à lui offrir toutes les nuits qu’il voudrait bien lui consacrer. Je partage entièrement son avis et c’est avec le plus grand plaisir que je céderais à David ma place dans le lit conjugal pour autant de nuit qu’il le désirerait en espérant qu’elles soient très nombreuses.
A ce jour, ma femme a eu au moins vingt six amants, car il est possible que nous en ayons oublié un ou deux. C’est déjà pas mal mais finalement cela fait moins d’un par an. J’espère bien sûr qu’il y en aura d’autres. Notre vie sexuelle est loin d’être terminée et il y a encore beaucoup de choses que nous n’avons pas faites. J’aimerais par exemple entraîner un soir Marie-Claude dans un club érotique où elle pourrait tout à loisir choisir son partenaire.
Déjà toutes les expériences que nous avons vécues ont agréablement pimenté notre vie. Je ne me suis jamais lassé de ma femme, au contraire et, plus je pense à ce qu’elle se soit laissée possédée par autant d’amants, plus je la trouve désirable. Bien sûr des années sont passées et Marie-Claude n’est plus une toute jeune fille, mais elle est encore dans la magnificence beauté de la femme séduisante. Il m’est toujours agréable de voir les hommes se retourner sur elle.
Son corps ne s’est que très légèrement modifié et il a gardé sa fermeté juvénile et ses courbes harmonieuses accrochent le regard et invitent à la caresse. Lorsqu’elle fait sa toilette ou s’habille, je ne peux m’empêcher d’admirer son corps nu, me désolant d’être seul à me régaler de ce spectacle. Et pour moi, le seul vêtement qui la sied parfaitement, c’est lorsqu’elle est uniquement voilée du regard prometteur d’un amant qui va la combler.
Voilà notre histoire authentique, que j’avoue avoir dévoilée avec un certain plaisir. Je souhaiterais savoir si elle vous a plu et en général ce que vous en pensez.
Patrick
patoreste @ aol.com